zone apollinaire analyse vers 1 à 24

Apollinaire a décidé de supprimer toute ponctuation. Zone (v.1 à 24) A la fin tu es las de ce monde ancien. vingt-cinq centimes » Qu'est-ce qui constitue la modernité de Zone ? D'une certaine manière, il est séduit par le monde nouveau mais paraît comme englué sinon dans l'ancien et le passé du moins dans une espèce d'ici et maintenant : “tu es las” peut aussi s'entendre comme “tu es là”; le poème est majoritairement écrit au présent (d'énonciation ?) Il mène une enfance plus ou moins orpheline et voyageuse La thématique du « bâtard » est récurrente dans son œuvre (cf. b) L'espace géographique. Apollinaire n’a-t-il pas été influencé par “Le monoplan du pape” du « futuriste » Marinetti? On peut s’étonner de que le chantre de la modernité critique ce qui est censé en être pourtant le signe par excellence, l’automobile (avec l'avion, voir ci-dessous). Le … •    L’organisation du texte rompt avec la tradition. Le poème, écrit en 1911, fut d’abord intitulé « Cri ». On ne sait pas comment on doit lire ce vers : a-t-il 11 ou 12 syllabes ? On trouve deux enjambements dans le poème. c) l’écriture La religion seule est restée toute neuve la religion, J'ai vu ce matin une jolie rue dont j'ai oublié le nom. On entre à la fois dans un espace géographique, celui des villes qu'Apollinaire a parcourues dans sa vie, mais aussi dans un espace-temps mental, celui des souvenirs du poète, et enfin d'un espace poétique, une nouvelle “zone” de transition entre tradition et modernité. Il revendique une grande liberté. Portraits des grands hommes et mille titres divers+ sténo-dactylographes, Nouvelle définition de la prose et de la poésie. Les directeurs les ouvriers et les belles sténo-dactylographes), les énumérations temporelles au vers suivant, la personnification de bâtiments (la sirène y gémit, v.19; Une cloche rageuse y aboie, v.20; Les inscriptions [...] criaillent) et le lexique lié au bruit bien peu musical et harmonieux. aspect intemporel et lui permet d’être « moderne » à toute époque •    « la sirène qui gémit » renvoie à la mythologie, aux légendes antiques grâce à la polysémie du terme Vers 9 et 10 : « Et toi que les fenêtres observent la honte te retient. La promenade dans Paris (vers 1 à 24) : évocation du p résent. La religion seule est restée toute neuve la religion : Eugène Delacroix, La Liberté guidant le peuple (1830), Indignez-vous ! Est restée simple comme les hangars de Port-Aviation, Seul en Europe tu n'es pas antique ô Christianisme •    Les lieux de la modernité sont aussi évoqués : « hangars de Port-aviation », « rue industrielle » •    Ainsi que le monde industriel et professionnel « Les directeurs les ouvriers et les belles sténo- Méthode : analyser un texte théâtral, le vocabulaire du théâtre. qui a trait à la religion n’a rien à voir avec le temps humain, mais avec l’éternité ce qui lui donne un Le premier vers ancre d'emblée le poème dans la modernité. I - La revendication de nouveauté : a) dans la forme : Poèmes à Lou de G. Apollinaire, commentaire de L. Campa, Gallimard, Foliothèque, 2005 Je pense à toi mon Lou. Très rapidement, il oppose le monde ancien et le monde moderne : celui de l'antiquité grecque et romaine (v.2), des ponts napoléoniens (l'animalisation du v.2 est dégradante > le troupeau des ponts bêle) qu'il étend mm de manière provocatrice à certains objets les plus récents du monde moderne (Ici même les automobiles ont l'air d'être anciennes, v. 3). Ce troupeau ne fait que passer sur les ponts : ce sont des voitures automobiles en train de s'engouffrer toutes à la fois, comme un troupeau de moutons, par les ponts de la Seine ; leurs conducteurs se servent de leurs klaxons : les moutons bêlent. Enfin, le vers 2 est également à observer. notes. III - Création poétique et tradition sont au service de la transfiguration poétique de la réalité a) les images qui transforment l’inanimé en animé Première et seconde personne (le poète et le lecteur) se confondent. b. •    qualification inattendue    « grâce de cette rue industrielle », proche de l’oxymore ! Dans le texte, il oppose l'ancien et le moderne. Apollinaire, parce qu’il vit en un temps de modernisme sceptique, avoue le désir d’un retour à une naïve religiosité. II la relation de la zone et le poète : le poète se sent proche de la zone, Tu en as assez de vivre dans l'antiquité grecque et romaine Seul en Europe. “Zone,” an exemplary modernist work, is a fairly long poem of 159 lines divided into thirty-four irregular sections; a section may contain only two words or be as long as twenty-nine lines. Les 3 premiers vers évoquent le thème de la nouveauté dans le contexte d’un paysage urbain. Ce poème fut publié en décembre 1912 dans la revue Les Soirées de Paris.C’est en fait le derniers poèmes écrits par Apollinaire avant la publication d’Alcools en 1913 ; ce poème, d’abord intitulé « Cri », a été mis en tête du recueil pour le placer sous le signe de la modernité et d’une esthétique nouvelle. Apollinaire abandonne l’alexandrin au profit d’un vers libre de 16 syllabes et inscrit, de la sorte, la modernité poétique au cœur de « Zone ». Sign Up. •    La religion (champ lexical) : qui reflètent des préoccupations d’ordre spirituel, voire mystique qui dépassent le présent et s’inscrivent dans l’éternité des préoccupations humaines. Guillaume Apollinaire - 1880-1918. sont dominantes : « gémit »/ « midi » ! Alcools, publié en 1913, rassemble les poèmes écrits entre 1898 et 1912. Et, qui plus est, d'une rue industrielle ! On est frappé par l'apparence du poème : certains vers sont détachés, d'autres regroupés en strophes ; il n'y a pas réellement de régularité. l’ensemble de ces procédés confère une impression de liberté et de modernité Poèmes et lettres d'Apollinaire à Lou, Paris, Textuel, 2007. Vers 15 à 24 : « J'ai vu ce matin une jolie rue dont j'ai oublié le nom, Neuve et propre du soleil elle était le clairon, Les directeurs les ouvriers et les belles sténo-dactylographes, Du lundi matin au samedi soir quatre fois par jour y passent, Le matin par trois fois la sirène y gémit, Les inscriptions des enseignes et des murailles, Les plaques les avis à la façon des perroquets criaillent, J'aime la grâce de cette rue industrielle, Située à Paris entre la rue Aumont-Thiéville et l'avenue des Ternes ». Il provoque avec les trois premiers vers : habituellement, les vers sont présentés en strophes. « À la fin tu es las de ce monde ancien Ici même les automobiles ont l'air d'être anciennes La religion seule est restée toute neuve la religion Est restée simple comme les hangars de PortAviation » Strophes : monostiche tercet + huitain dizain Le poète ne choisit pas de répéter le même type de strophe : il présente des monostiches, un tercet, etc. joute encore dans le paradoxe dans ces vers qui offrent une triple surprise au lecteur. Apollinaire en ajoute encore dans le paradoxe dans ces vers qui offrent une triple surprise au lecteur. Ils correspondent à deux moments, deux idées : 1°) le passage mettant en valeur la religion. bien que chantre de la modernité, Apollinaire s’inscrit dans une certaine tradition (voir plus loin dans le recueil les poèmes « À la santé » que l’on peut rapprocher de ceux de Verlaine dans « Sagesse » Pour lui, la poésie ne se trouve pas que dans les poèmes, mais aussi dans les revues, publications. -Prq Apollinaire a-t-il choisi de commencer Alcools par Zone ? •    le quotidien est ainsi perçu différemment et devient objet poétique •    la poésie est partout, même là où on ne l’attend pas, elle dépend du regard que l’on porte sur ces Vers 31 : « tu regardes les yeux plein de larmes » Le poète a pitié, il est dans l’empathie. aussi le symbole. Le poème parut d’abord en décembre 1912, dans “, (le tableau d'Edward Munch étant de 1893) et étant ponctué. Apollinaire n’a-t-il pas été influencé par “. Par quoi l'attention du poète est-elle attirée ? Donc, c'est un vers ancien, qui appartient au passé. Différents thèmes parcourent le recueil : l’éloge de la modernité, la poèsie du quotidien, la mélancolie, l’amour blessé, l’ivresse, la ville pour n’en citer que quelques-uns. 5. Il s'adresse à la tour Eiffel : le symbole de la capitale et de la modernité. Enfin on peut souligner que ce monument inspire aussi un peintre comme Delaunay Le titre : plusieurs niveaux de signification : Poème qui peut se lire comme l’affirmation d’un art poétique, du moins pour le début que nous allons étudier ; dans son ensemble peut se lire comme un parcours autobiographique et poétique. Les documents et les témoignages le concernant permettent de situer sa composition après que Blaise Cendrars eut lu à Apollinaire son propre poème qu’il venait de terminer : “, ”, un poème de distiques irréguliers mais rimés, où se déroulait un long itinéraire, peuplé de souvenirs, un long courant de poésie ininterrompue, dynamique, qui épousait le mouvement de la marche du poète-Christ, poème qui faisait de lui le premier poète de l’esprit nouveau. Il y a les livraisons à 25 centimes pleines d'aventures policières Voilà la poésie ce matin et pour la prose il y a les journaux les termes accompagnant ces éléments de la modernité leur confèrent un caractère poétique : cf la personnification de la tour Eiffel, « « les prospectus les catalogues les affiches » qui « chantent tout hauté, l’évocation de la littérature : « Voilà la poésie ce matin et pour la prose il y a les journaux » Il s'adresse au lecteur en le tutoyant : il se sent proche de lui. 2. Bergère ô tour Eiffel (v.2) > cette tour est encore très récente à l'époque du poème (l'exposition universelle date de 1889 et le poème de 1912) et elle suscite encore des polémiques liées à son esthétique jugée douteuse. Même si Apollinaire a une vision moderne de la poésie en mélangeant lyrisme et figures de style, il s'inspire de Baudelaire, Ronsard et Mallarmé. Objectifs de la séance : ( Structure d’ensemble du poème. Un troupeau bêlant ne parle guère à l'esprit et semble plutôt incongru, mais, en lui accordant plus d’attention, on s'aperçoit qu'il ne s'agit pas d'un troupeau formé par les ponts (?) Lecture analytique linéaire « Zone » Introduction : Alcools : publié en 1913, rassemble les poèmes écrits entre 1898 et 1912. J'ai vu ce matin une jolie rue dont j'ai oublié le nom Que vient faire ici la religion? Ils correspondent à deux moments, deux idées : 2°) le passage évoquant sa honte d'entrer dans une église : l'enjambement est associé au verbe de mouvement « entrer » et mime, d'une certaine façon cette action. C'est pour cela que les souvenirs tiennent une place importante dans Zone puisque Apollinaire veut aller vers … J'aime la grâce de cette rue industrielle 4. Commentaire littéraire de Zone, Alcools, Apollinaire, vers 1 à 24. Lecture analytique, « Zone », Alcools, 1913, vers 1 à 18 Introduction + éléments biographiques Guillaume Apollinaire (1880-1918) : fils naturel d’une italienne et d’un Polonais. D'en/trer /dans /u/ne é/gli/se et /de /t'y /con/fes/ser /ce/ ma/tin (14 syllabes). Zone, Apollinaire : lecture analytique Voici une analyse du poème « Zone » de Guillaume Apollinaire. : lecture analytique n° 17 : Victor Hugo, Le Dernier jour d'un condamné, Indignez-vous ! Il ne s'adresse pas un bâtiment antique. Sans tomber dans l’exaltation du chauvinisme, nous avons le droit de proclamer bien haut que Paris est la ville sans rivale dans le monde. Apollinaire's first collection of poetry, L'enchanteur pourrissant, was published in 1909, and his reputation as a poet was established in 1913 with the publication of the collection Alcools: Poemes. En réalité , le poète mène une réflexion sur toute sa vie. 2°) le passage évoquant sa honte d'entrer dans une église : l'enjambement est associé au verbe de mouvement « entrer » et mime, d'une certaine façon cette action. La réalité devient un lieu autre insolite, nouveau. Mais où le soleil éclatait en fanfare. Ce poème est le premier du recueil d'Apollinaire, Alcools, publié en 1913. Exploitant l’effet de surprise de l’enjambement. Le reproche fait au monde actuel par le poète qui le considère comme «ancien» est exagéré par la référence à «l’antiquité» :s’agit-il du seul rejet des références culturelles traditionnelles? : visite virtuelle de l’exposition Victor Hugo, l’homme océan, Les yeux se rencontrèrent : comparaison de l’extrait de La Duchesse de Langeais (1834) de Balzac et de deux adaptations télévisées et cinématogaphiques, Les yeux se rencontrèrent : deux mouvements littéraires : le réalisme et l’absurde, Méthode : le commentaire (à l’écrit) ou la lecture analytique (à l’oral), Méthode : préparer un exposé sous la forme d’un diaporama, Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : comparaison du sermon du prêtre et du discours de Voltaire racontant le supplice de Calas, dans le film L’Affaire Calas (2007) de Francis Reusser et Alain Moreau, Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : l’affaire Calas, Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : L’Affaire Calas (2007) de Francis Reusser et Alain Moreau, Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : l’affaire Turquin, Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : lecture analytique n° 15 : « De la tolérance universelle », Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : lecture analytique n° 16 : « Prière à Dieu », Traité sur la tolérance (1763) de Voltaire : Voltaire : biographie et bibliographie ; la notion d’engagement, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : d’Un Roi sans divertissement à Noé, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : étude comparée du roman et de l’adaptation cinématographique d’Un Roi sans divertissement (1963), de François Leterrier, scénario de Jean Giono, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : Jean Giono, un écrivain qui dépeint la condition de l’homme dans le monde, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : l’intertextualité, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : lecture analytique n° 11 : l’explicit, Un Roi sans divertissement (1947) de Jean Giono : lecture analytique n° 8 : l’incipit, Les lieux , réels et imaginaires dans Un roi sans divertissement, Questions envisageables pour l’oral du bac : la poésie, Questions envisageables pour l’oral du bac : Le Roman et ses personnages, Questions envisageables pour l’oral du bac : le théâtre, Questions envisageables pour l’oral du bac : l’argumentation, Un diaporama des oeuvres d'Apollinaire : Alcools, Calligrammes, Poèmes à Lou, Un site dédié à Un Roi sans divertissement, Une analyse du roman Un Roi sans divertissement, Métiers 360, la découverte des métiers en réalité virtuelle, Doc-Plus, Partage de documents avec vos élèves, Marginalité : zone = bande de terrains vague qui entourait les fortifications de Paris ; lieu de marginalité sociale (cf sens moderne du mot) ; poème en marge du recueil. Vers 1 : « À la fin tu es las de ce monde ancien ». ? Mais elle est destinée encore à étonner puisque le parti-pris de trouver de la beauté à ce qu'il y a de plus criant en fait de modernisme lui fait célébrer la grâce... d'une rue ! ... 24 juillet 2019 à 15:15. et des déictiques ancrent le discours ds l'immédiateté du moment de la parole (Ici, v.4; Uniquement disponible sur LaDissertation.com, Annonce Des Axes Etude du poème Zone Guillaume Apollinaire, Lecture Analytique : « Zone » extrait d’Alcools, Apollinaire, Lecture analytique Les colchiques, Apollinaire, Lecture analytique « Zone » - Alcools , Guillaume Apollinaire, Lecture analytique, Nuit Rhénane Apollinaire, Lecture Analytique Les Animaux De La Peste, Lecture Analytique Du Bellay Sonnet XVI Les Regrets. Vers 3 : «Tu en as assez de vivre dans l'antiquité grecque et romaine». 8. Elle permet également, dans certains passages, des ambiguïtés : libre au lecteur d'interpréter comme il le veut ces passages. : lecture analytique n° 16 : Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, Indignez-vous ! •    ces procédés amènent à voir différemment les objets prosaïques du quotidien : « tour Eiffel » / « bergère » (urbain/ pastoral), « les prospectus les catalogues les affiches » / « poésie » (supports publicitaires / littérature) ; « journaux », « Il y a les livraisons à vingt-cinq centimes » / « prose » (supports d’information/ littérature) dont bien vite on comprendra qu’il est nul autre que lui-même (voir “, .»). c) Industrialisation et nouvelles technologies. Le poète énumère tout ce qui attire son attention dans la rue, tout ce qui montre la modernité de l'époque : les documents publiés, les catégories sociales, les publicités. Il revendique une grande liberté. Voici une analyse du poème « Zone » de Guillaume Apollinaire. D'une certaine façon, la nouvelle poésie qu'il propose évoque elle aussi le matin, métaphoriquement : c'est, pour lui, le début d'une nouvelle époque (nous sommes au début du Xxème siècle). [...] Zone est l'histoire d'une déambulation poétique d'un matin (début du poème) vers un autre matin (fin du poème), dans un Paris entrecoupé d'évocations géographiques diverses. Pouvez-vous mettre en ligne des questions que l’examinateur pourrait nous poser sur la poésie ? Dans les vers 1 et 3, le poète se répète : la première fois, il utilise le langage poétique, le langage soutenu ; la seconde fois, il utilise le langage quotidien. Mais elle est destinée encore à étonner puisque le parti-pris de trouver de la beauté à ce qu'il y a de plus criant en fait de modernisme lui fait célébrer. C'est dans les vers 31 à 40 que le poème adopte un ton singulier. Par la magie de la poésie, la réalité est transformée, embellie, de même qu'au vers 2 la tour Eiffel était personnifiée. - « vous » pour s'adresser au pape : le vouvoiement indique une marque de respect. Est restée simple comme les hangars de Port-AviationSeul en Europe tu n'es pas antique ô Christianisme Qu’est-ce qui apparaît comme novateur dans cet extrait (le début) ? La répartition des vers se fait avec une grande liberté, le début présentant des séquences d’une certaine longueur tandis qu’ensuite elle deviennent plus brèves, de nombreux vers étant même isolés. Parmi les signataires figurent : Charles Gounod, Charles Garnier, Guy de Maupassant, Alexandre Dumas fils, François Coppée, Leconte de l’Isle, Victor Sardou, Sully Prudhomme, entre autres. Vers 2 : «Bergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin». Les directeurs les ouvriers et les belles sténo-dactylographes 5. La première strophe évoque la religion et la modernité ; la troisième la vie urbaine. •    comparaison entre deux termes extrêmement éloignés « religion » / « hangars » ! Termes revivifiés par associations étonnantes : autant de paradoxes qui nous amènent à reconsidérer le réel et à sortir des clichés. - En 1913 paraît Alcools, recueil de poèmes écrit sur une dizaine d’années, il surprend par l’absence de ponctuation, l’originalité des images, la diversité des formes. Mais où le soleil éclatait en fanfare. Mais il avait adopté le vers libre et la suppression de la ponctuation. •    personnifications : v. 2, 9, 11, 19 ! •    Paradoxalement, ce premier poème s’annonce comme une fin « À la fin tu es las ... », contrairement à ce que l’on attendrait Zone, un poème de Guillaume Apollinaire. Plus tard, dans le poème, apparaît aussi le « je » Le matin par trois fois la sirène y gémit II- L’organisation interne d’Alcools 1) La circularité Premier vers du recueil : « A la fin » (« Zone ») Dernier vers du recueil : « Le jour naissait » (« Vendémiaire »)

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